Je lui ouvre la porte et elle me quitte chaque matin pour aller mener une existence sans moi, désireuse sans doute de se laisser porter par l’instant et l’instinct — au hasard de ses pérégrinations et de ses rencontres — sans que je puisse interférer sur son destin et sur ses choix. Cette vie périlleuse, passée loin du cocon qu’elle a choisi de retrouver chaque soir, reflète parfaitement le fier caractère, indépendant et autonome, d’un drôle d’animal, sauvage et policé, qui s’attache sans se lier.
Mais, ce que j’aime chez elle, c’est justement qu’elle soit cette féline beauté, fascinante et indomptable, qui m’envoûte sans que je puisse lui résister, heureux de lui témoigner mon affection dès lors qu’elle réapparaît au crépuscule…
Philippe Parrot
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Poème écrit par Philippe Parrot
Commencé le mercredi 15 avril 2015
Et terminé le samedi 18 avril 2015
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