Quand un être disparaît — pour quelque raison que ce soit : décès, séparation, éloignement — ne reste plus à celles et ceux qui le connurent, l’apprécièrent, voire l’aimèrent, qu’à se nourrir des brûlants souvenirs qu’il laisse. Transformé peu à peu par la mémoire en une chimère qui hante l’esprit et étreint le cœur, il devient au fil du Temps une étrange « présence » tout à la fois prégnante et surnaturelle, incontournable et magique, avec laquelle il faut composer journellement tant elle s’impose à soi.
Autant dire qu’à ce stade, il devient urgent d’exorciser les sortilèges de ce fantôme avec des mots, sous peine d’être irrémédiablement possédé par lui…
Philippe Parrot
« Femme brossant ses cheveux » par Wladyslaw Slewinski (1897)
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P 242 – Sous ton évanescente emprise
Poème écrit par Philippe Parrot
Commencé le mercredi 1 février 2017
Et terminé le jeudi 2 février 2017
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