Comme chaque dimanche, heureuse de lâcher prise après une harassante semaine de travail, tu t’adonnes à ton passe-temps favori : la sieste ! Nonchalamment étendue sur le lit, nue, profitant des rayons brûlants du soleil, tu t’offres à l’estivale chaleur, ravie de repousser les draps et d’écarter jambes et bras pour sentir les moindres parcelles de ta peau se réchauffer quand, peu à peu, envahie par une douce torpeur, tu t’endors…
Venu me glisser à tes côtés, mon regard rivé un temps sur ta sculpturale beauté, voilà que je sombre à mon tour. Et soudain — l’après-midi passé sans que nous nous en rendions compte — ta chatte me réveille.
La tête posée sur ton ventre, ma joue tout contre ta toison soyeuse, titillé par ses moiteurs, c’est ton sexe, à portée de bouche et de nez, qui me tire du sommeil…
Philippe Parrot
« La femme au chat » d’Auguste Renoir
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Acrostiche écrit par Philippe Parrot
Entre le 21 et le 22 septembre 2017
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