Un peu à la manière des fables de Jean de la Fontaine (1621/1695), l’idée m’est venue de mettre en scène des animaux pour évoquer le destin de deux êtres qui pourraient bien nous ressembler. Confrontés à cette fin avec laquelle il nous faut composer — que nous le voulions ou non ! — ; poussés vers cette impasse dans laquelle il nous faut accepter — tôt ou tard ! — de s’engager, voilà ces « pauvres » bêtes placées devant l’Inéluctable, sous la houlette d’un oiseau de malheur guère avare de sarcasmes, omniprésent dans nos villes et nos campagnes.
Alors, quoi qu’il advienne, souhaitons cependant longue vie à la blanche colombe, en quête de plaisirs et de joies !
Philippe Parrot
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P 300 – La colombe, l’ours et le corbeau
Poème écrit par Philippe Parrot
Le 11 octobre 2017
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Ce texte se rapproche d’un autre recourant lui aussi à un singulier bestiaire : Poème 19 : Peaux d’âme
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