En matière d’érotisme, dans la communication comme dans l’art, associer banane et gente féminine n’est jamais — et c’est bien le cas de le dire — le fruit du hasard. Plus que la pomme le fruit du pêché, sa représentation et sa mise en scène permettent d’évoquer la sexualité d’une façon certes symbolique mais néanmoins suffisamment explicite pour suggérer sans offenser et troubler sans choquer.
En effet, que ce soit par sa forme longue et incurvée qui fait penser à un phallus ou par sa manière d’être consommée qui laisse croire à un simulacre de pénétration, à rappeler tout à la fois sexe masculin et pratiques amoureuses, cet aliment ne peut susciter que de sulfureuses images ou nourrir que maints fantasmes dès lors qu’il investit un orifice buccal.
Voilà pourquoi, en ingérant une banane, une femme peut tout à loisir s’imaginer être pénétrée tandis qu’un homme à la voir l’avaler, se figurer s’enfoncer en elle…
Philippe Parrot
Photo libre de droit trouvée sur Pixabay.com ( auteur : Pewasser )
* * * * *
Pour lire le poème « La banane d’Anne », veuillez cliquer sur le fichier ci-dessous.
Poème écrit par Philippe Parrot
Entre le 30 et le 31 mai 2018.
Avertissement : Ce texte licencieux pourrait éventuellement choquer certaines personnes.
Vous aimez ce poème. Partagez l’article ! Vous contribuerez ainsi à la diffusion de mes mots.
Visualisez la vidéo ci-dessus, en plein écran, directement sur YouTube !
* * * * *
* * * * *
Pour accéder à la totalité de mes poèmes classés par ordre chronologique et thématique, veuillez cliquer sur l’une des bannières ci-dessous :
* * * * *
Notification : Conformément au code de la propriété intellectuelle (loi n°57-298 du 11 mars 1957), il est interdit d’utiliser et/ou de reproduire et/ou de modifier et/ou de traduire et/ou de copier le texte ci-dessus, de façon intégrale ou partielle, sur quelques supports que ce soit : électronique, papier ou autre, sans l’autorisation expresse et préalable de l’auteur. Tout droit réservé.