Aujourd’hui, les chevaux sont abattus soit pour des raisons économico-financières, leur propriétaire n’ayant plus les moyens de les entretenir ou jugeant qu’ils ne rapportent pas assez sur les champs de course, soit pour des raisons médicales justifiées par le désir d’abréger leurs douleurs, du fait d’une maladie ou d’une fracture.
En France, depuis 1974, la technique de mise à mort est la suivante : l’animal est enfermé dans une cage métallique qui ne libère que la tête. À l’aide d’un pistolet d’abattage, plaqué contre son crâne, entre les deux oreilles, il reçoit alors une tige perforante dans le cerveau censée « l’étourdir » afin qu’il soit inconscient à l’instant d’être tué. Les bêtes ainsi « assommées », mais toujours vivantes, sont ensuite accrochées à une chaîne où, suspendues par un membre postérieur, tête en bas, elles sont vidées de leur sang par une saignée exécutée en leur sectionnant la veine jugulaire ou la carotide. Hélas, comme l’ont révélé de nombreuses caméras cachées dans ces abattoirs, il apparaît clairement que certains équidés reprennent conscience avant leur mise à mort, éprouvant de très grandes souffrances liées tout autant au mode de suspension de leur corps qu’à la technique de tuerie…
C’est suite à la suggestion d’une personne sur Twitter, très impliquée dans la défense des animaux, que j’ai souhaité, au travers du poème ci-dessous écrit à la manière d’une fable, dénoncer les sévices imposés à ces « animaux de compagnie » avant qu’ils ne finissent en steak dans certaines assiettes…
Philippe Parrot
Avertissement 1 : Si vous cliquez sur la photo, le lien vous conduira à la vidéo présentée par l’association L214. « Les images proviennent de l’abattoir de Pézenas (dans l’Hérault). Elles ont été tournées entre novembre 2015 et mai 2016. Elles montrent l’abattage des chevaux ».
Soumis à une limite d’âge, conformément à la réglementation de YouTube, le reportage ne devrait pouvoir être vu que par des internautes de plus de 18 ans. Néanmoins, compte tenu de l’insondable cruauté des scènes, son visionnage est absolument déconseillé aux adultes trop sensibles.
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Pour lire le poème « Moustic », veuillez cliquer sur le fichier ci-dessous.
Fable tragique écrite par Philippe Parrot
Entre le 27 octobre et le 2 novembre 2018
Avertissement 2 : L’extrême crudité du texte pourrait choquer des personnes très émotives. Sa lecture leur est donc vivement déconseillée. Néanmoins, si vous aimez ce poème, partagez l’article ! Vous contribuerez ainsi non seulement à la diffusion de mes mots mais aussi à la défense de la cause animale.
Visualisez la vidéo ci-dessus, en plein écran, directement sur YouTube !
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