En ces temps de confinement où nous devons désormais rester cloîtrés, claquemurés dans un espace fini et familier qui n’avait jamais généré d’angoisse jusqu’alors — si libres de nos mouvements que nous étions ! — le voilà soudain qui revêt, coronavirus oblige, l’aspect oppressant d’une cellule de prison.
Condamnés à la réclusion, non pas à perpétuité mais tout au moins pour quelques semaines, l’heure est venue d’occuper notre temps comme nous ne l’avions jamais fait auparavant. Obligés de rompre avec nos habitudes, nos marques, nos certitudes qui, toutes, nous rassuraient, il nous faut, à marche forcée et sans boussole, nous adapter, improviser, endurer, bref, inventer de nouvelles manières de vivre, plus spartiates que celles d’avant.
Exception faite des solitaires invétérés ! Épanouis dans l’isolement, le silence et le recueillement, cette nouvelle existence ne rompt en rien avec la précédente. Rêves, échappées et visions y occupent toujours une place centrale, voire vitale, seule garante de leur équilibre comme de leur paix intérieure…
Philippe Parrot.
Photo libre de droit trouvée sur Pixabay.com ( Auteur : Insspirito )
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Poème écrit par Philippe Parrot
Entre le 24 et le 26 mars 2020
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