Si touchants qu’ils soient quand ils sautent sur nos genoux pour s’y lover en boule ou qu’ils viennent miauler à nos pieds tout en se frottant contre nous, les chats restent d’altiers félins qui ne se laissent « apprivoiser » qu’en apparence. Aussi, faut-il vite s’ôter de l’esprit qu’ils vont obtempérer, en « gentil minou », à nos moindres caprices et que c’est nous qui les avons adoptés sous prétexte qu’ils « squattent » nos maisons. Grossières erreurs ! En fait, ce sont eux, et eux seuls, qui nous choisissent et décident de vivre, ou non, en nos compagnies ! D’ailleurs, qu’elles ne leur conviennent plus pour x raisons, oublieux que le gite et le couvert leur sont gracieusement offerts, ils n’hésiteront pas à quitter un lieu et des gens qui ne comblent plus leurs attentes, prêts à prendre le risque de retourner à un « état sauvage », avec tous les dangers inhérents à un tel mode de vie. Mais ils n’en ont cure, trop attachés à leur indépendance et à leur autonomie.
Philippe Parrot.
Photo libre de droit trouvée sur Pixabay.com ( Auteur : Daniel Nebreda )
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Poème 88 : Ma chatte ronronneuse
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Poème écrit par Philippe Parrot
Écrit entre le 15 et le 18 juillet 2020
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