Il y a quelques jours, sur Facebook, j’ai vu passer sur mon fil d’actualités la photo d’une jeune femme prénommée Marion. Hospitalisée dans un service de soins palliatifs situé dans le Nord de la France, indépendamment de sa prise en charge médicale, elle avait bénéficié du soutien de l’association « Les Sabots du Cœur », dirigée par Hassen Bouchakour, qui permet aux malades en fin de vie d’être accompagnées par Peyo, un singulier cheval « passeur d’âmes ».
Très amaigrie et diminuée, elle s’était cependant redressée sur son lit pour poser sa main droite à hauteur du garrot de l’imposant visiteur et appuyer sa tête contre son poitrail, yeux fermés, sa longue et ondoyante chevelure tombant sur ses épaules. Il y avait tant d’abandon, tant de lâcher prise dans sa touchante attitude, sans douté épuisée par un combat qu’elle savait perdu, que le destin de cette attachante personne, mère de deux enfants et à cette heure décédée, m’a ému.
C’est donc à elle — mais aussi aux autres mères qui laissent, elles aussi, des orphelins désemparés — que je dédie le poème ci-dessous.
Philippe Parrot
Photo libre de droit trouvée sur Pixabay.com (Auteur : Engin_Akyurt)
* * * * *
Pour lire le poème « Soins palliatifs », veuillez cliquer sur le fichier ci-dessous.
Poème écrit par Philippe Parrot
Entre le 15 et le 18 décembre 2020
Regardez les vidéos ci-dessus, en plein écran, directement sur YouTube !
* * * * *
* * * * *
Pour accéder à la totalité de mes poèmes classés par ordre chronologique et thématique, veuillez cliquer sur l’une des bannières ci-dessous :
* * * * *
Notification : Conformément au code de la propriété intellectuelle (loi n°57-298 du 11 mars 1957), il est interdit d’utiliser et/ou de reproduire et/ou de modifier et/ou de traduire et/ou de copier le texte ci-dessus, de façon intégrale ou partielle, sur quelques supports que ce soit : électronique, papier ou autre, sans l’autorisation expresse et préalable de l’auteur. Tout droit réservé.