Qu’il est facile d’inviter une personne à « profiter » pleinement du Temps qui passe, conscient de cet extraordinaire privilège que nous avons d’être là — ici et maintenant ! — comme de cette chance inouïe qui nous est accordée d’interagir avec le monde et les autres via nos sens !
Cependant, vouloir vivre selon les principes d’une morale hédoniste, en n’ayant d’autre but que la recherche du plaisir, s’avère, dans les faits, totalement irréaliste. En effet, comment croire qu’un individu puisse ne songer qu’à son bien-être quand une telle éventualité dépend des conditions économico-sociales qui déterminent son existence. Qu’elles soient dures et précaires, voilà notre homme contraint de composer avec un environnement qui exclut toute chance de bonheur ! Angoisse et pauvreté deviennent alors les maîtres-mots d’un destin synonyme de survie. Dans un cadre aussi oppressant, comment donc se soucier de satisfaire la moindre de ses envies quand la seule chose qui compte, c’est de trouver chaque jour de quoi se nourrir et se loger ? C’est bien évidemment impossible !
Dés lors, mieux vaut tenter d’échapper à la réalité en imaginant — au fil de quelques vers — un monde différent où, ses besoins matériels satisfaits, chacun d’entre nous pourrait enfin s’abandonner aux jouissances de son choix, raisonnées ou non.
Oui ! Une fois de plus, place aux rêves…
Philippe Parrot
Photo libre de droit trouvée sur Pixabay.com (Auteur : VaniaRaposo)
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P 497 – Et si nous profitions de la vie ?
Poème écrit par Philippe Parrot
Entre le 1 et le 4 décembre 2021
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